Combien ?



"Aucun budget est trop bas pour envisager un mandat

...et ; favorisons les trocs !




Chérir sa chance, c'est cher ?

Résumé :  Les revenus suite à de photos sont bienvenus, pour le photographe essentiel.

(Élucubrations, ébauche en déconstruction. Personnes irritables s'abstenir.)

Le temps du photographe voué à un mandat dépasse largement celui de sa 'présence' à photographier.

Précautions matérielles obligent, même pour une seule heure "d'action" photographique,
le photographe se débat deux heures durant, au minimum, à analyser et préparer son matériel en fonction de beaucoup de paramètres très variable.
(...)

À ce stade intermédiaire du devis fantôme, encore très simplet, il y a donc déjà 3 heures à prendre en considération
bien que le client en verra qu'une seule au côté du photographe.

Pour le photographe qui respecte le mandat du client, après les prises de vues (temps qui peuvent se prolonger),
pour sa part il n'en est ici qu'à l'entracte, ou au début de l'acte deux.

Derrière les rideaux il va devoir ranger correctement son matériel (au début de manière pêle-mêle, pour au cas où il fallait rattraper ou ajouter...).

Soit dit en passent : Malgré son prix, son "parc informatique" n'est pas un luxe, avec son imprimante et son écran calibrés, ses ordinateurs à remplacer, ses multiples cartes mémoires, disques durs, ses diverses souscriptions/abonnements payables en continu, temps de formations en continu..
Pour la finition d'une bonne image, aucune de ses nombreuses étapes ne fonctionne sans la précédente, chacune peut compromettre la suivante.

Tout comme les temps de préparations, le temps de traitement d'image est généralement totalement sous-estimé,
il est cependant incontournable, et de 2 à 5 fois le temps de la prise de vue !
C'est un oubli pas si étonnant : Le photographe n'aime pas évaluer, ni mentionner, voir même évoquer devoir facturer ses heures d'éditions,
(même si "par malheur" il aime cette phase d'optimisation d'images).
L'édition d'image artistique et professionnelle n'est pas récréative, elle occupe, et mérite, beaucoup de temps.
(Au même titre qu'autrefois les étapes des chambres noirs : films et papiers).
Ne serait-ce pas preuve évidente d'être un mauvais photographe, d'être tricheur, manipulateur, que d'avoir à éliminer ou "corriger" ses images ?
Et quelle audace, plus il y consacre son attention, plus il veut facturer pour cette étape invisible ?
C'est difficile pour le photographe d'autant plus si vendre ne serai-ce qu'une seule photo pas conforme à ses propres valeurs le rend carrément malade par la suite. Quelle honte : Plus le temps juste est investi, moins pourtant il devra être remarqué, et encore moins le photographe pourra se justifier.

Le visible à ne pas exposer : Le critère de choix des images, leur interprétation et leur finition, c'est le rendu du photographe, et en dira long sur lui des années durant, alors que les accords ou circonstances et compromis pour le but premier avec le commanditaire, resteront généralement sans traces.

Au sujet d'équipements pourtant chers, souvent magnifique : C'est tel que le dessinateur-auteur Aaron Johnson le dit dans un de ses "What the Duck" caricaturant tous les méandres du métier de photographes : "Une bouche merveilleusement belle ne dit pas forcément de très belles choses"!
Oui; tel qu'un magnifique et sophistiqué four de cuisine, aussi, ne garantit nullement d'excellents repas.

Pourtant, aussi, rare sont les équipements professionnels qui sont à la fois aussi chers, aussi nombreux, et aussi vite à remplacer, que ceux nécessaires au photographe professionnel ! Somme toute : Explications, préparation de séance, séance, édition, transmettre, matériel à amortir.
Réalistement, la facturation d'une heure de service d'un photographe n'a pas d'équivalence avec une heure d'autres prestations professionnelles telles que, par exemple, celles de coiffeurs ou de plombier (où, d'ailleurs, les investissements en outillage sont bien moindres et ne nécessitent pas d'être renouvelés et re-amorti aussi fréquemment !). Ces montants-là, de dépannages ou d'embellissement en 45 minutes, et bien que plus fréquents, sont vite oubliés quand il s'agirait de les comparer à ceux du photographe.

De nombreuses circonstances planifiées, mais aussi imprévisibles, solliciteront autant de ressources créatives pour les intégrer positivement à l'issue de mandats photographiques. Dans mon approche photographique, la simple bonne humeur, mais surtout la confiance réciproque entre photographe et mandataire, m'est généralement indispensable. Pour réussir un mandat je considère nécessaires avant tout la compassion mutuelle pour les risques d’ordre personnels que chacun ose y investir. Aucun budget est trop bas pour commencer à discuter d’un mandat.

..Texte ébauche.



Sur demande :  Trocs envisageables !

Un prix individualisé tient au maximum compte des circonstances et de vos possibilités.


Tarifs :

Les nouveaux tarifs du photographe Alain Rupp sont en remaniement.

Les prix simplifiés s'inspireront de recommandations d'institutions de références respectées
des diverses branches de la publication et de la profession de l'image.
A titre d'exemple certaines de ces recommandations sont téléchargeables (temporairement) ci-dessous
ou leurs auteurs sont mis en lien vers leurs pages respectives directement,
pour les non-initiés et intéressés aux terminologies et concepts de la facturation d'images.

Exemples sur sites de référence de standards
en matière de pratiques recommandées au sujet de l'image :


Sous réserve d'exactitude,  dans l'esprit d'exemple seulement ! :    Télécharger  PDF  exemples  de  tarifs